Etude de l’erreur dans les contrats et son traitement dans le droit haïtien

Date:

Etude de l’erreur dans les contrats et son traitement dans le droit haïtien

Par Verna FORESTAL, 

MI2 Management des Médias (Université de Lille, France)

Et. M2 en Droit des Affaires (UEH)

 

 

Introduction générale:

Dans le cadre de l’étude du droit des contrats, l’erreur dans les contrats est un sujet prépondérant. En effet, le contrat est l’élément central du commerce et tout acteur économique doit être en mesure de comprendre les différentes notions qui s’y rapportent. L’erreur est un phénomène courant dans la vie contractuelle, et son incidence peut être très préjudiciable pour les signataires. C’est pourquoi, cette étude a pour objectif d’analyser les différents types d’erreur dans les contrats, ainsi que leur conséquence et les moyens de prévention. Par ailleurs, cette étude sera soutenue par une analyse de la jurisprudence relative à l’erreur dans les contrats.

Le droit des contrats est régi par un ensemble de règles juridiques visant à encadrer les relations commerciales et les transactions entre les parties. Cependant, malgré la rigueur de ces règles, il arrive souvent que des erreurs se glissent dans la formation du contrat. En Haïti, la question de l’erreur dans les contrats est un sujet de préoccupation pour les entreprises et les particuliers. C’est pourquoi, nous avons décidé, dans le cadre de ce devoir, d’étudier les différentes formes d’erreurs dans les contrats en droit haïtien, les conditions nécessaires à l’annulation d’un contrat pour erreur, ainsi que les conséquences de cette annulation.

 

Contexte:

Le droit des contrats est un élément incontournable pour tous les acteurs économiques, car il enchâsse les relations entre les parties et garantit une bonne exécution des obligations contractuelles. Cependant, malgré la vigilance des contractants, des erreurs peuvent survenir dans la formation ou l’exécution des contrats, ce qui peut entraîner des conséquences fâcheuses pour les parties. En Haïti, la question de l’erreur dans les contrats est un sujet de préoccupation pour les entreprises et les particuliers. C’est pourquoi, ce devoir se penchera sur les questions relatives à l’erreur dans les contrats en droit haïtien.

 

Objectifs:

L’objectif de cette étude est de mieux comprendre l’impact de l’erreur dans les contrats en droit haïtien. Plus précisément, ce travail vise à :

– Définir et aborder le concept d’erreur dans les contrats selondroit haïtien;

– Identifier les différentes formes d’erreurs dans les contrats prévues par droit haïtien;

– Analyser les conditions d’annulation d’un contrat pour erreur en droit haïtien;

– Examiner les conséquences de l’annulation d’un contrat pour erreur en droit haïtien;

– Formuler des recommandations pour prévenir l’erreur dans les contrats;

– Identifier les limites et les perspectives de l’étude.

Méthodologie:

Ce travail sera mené à partir d’une approche juridique et doctrinale. Tout d’abord, nous procéderons à une analyse des théories générales du droit en matière d’erreur dans les contrats, ensuite de la législation haïtienne sur la question, ainsi qu’à une revue de la jurisprudence haïtienne pertinente. Nous utiliserons également des sources doctrinales pour compléter notre étude. Notre analyse sera aussi menée sur base de droit comparé pour mieux cerner la logique du droit haïtienen la matière par rapport à d’autre système juridique comme le droit français.

Définition de l’erreur

En droit des contrats, l’erreur est une fausse représentation d’un élément du contrat par l’une des parties. La croyance de cette partie ne correspond pas à la réalité mais a tout de même entraîné la conclusion d’un contrat dès lors vicié. L’erreur est, avec le dol et la violence, l’un des trois vices du consentement.

L’erreur doit avoir été déterminante dans la conclusion du contrat : le cocontractant n’aurait pas contracté si elle ne s’était pas trompée (« sans elle, l’une des parties n’aurait pas contracté »).

« L’erreur se définit classiquement comme une représentation inexacte de la réalité

Elle, consiste, en d’autres termes, en un décalage entre la croyance de celui qui se trompe et la réalité

Plus précisément, en matière contractuelle, l’erreur ne peut être reconnue que si elle porte sur un élément du contrat, dans la mesure où c’est à elles qu’il revient de définir le contenu de leurs prestations respectives. », de l’avis de Aurélien Bamdédans sa publication sur le Droit des Contrats Droit des contrats, Droit des obligations Postée le 12 février 2017. 

 

Quelques autres types d’erreurs

 

• L’erreur sur les qualités essentielles de la prestation.

• L’erreur sur les qualités essentielles de la personne lorsque le contrat n’est pas conclu en considération de cette dernière.

• L’erreur sur les motifs.

• L’erreur sur la valeur.

 

Selon l’article 904 du code civil haïtien, le consentement n’est point valable, s’il n’a été donné que par erreur ou s’il a été extorqué par violence, ou surpris par dol.

Définition du contrat

En théorie générale du droit, le contrat est tout d’abord un accord de volonté, il est définit par sa formation et ses effets.Un contrat se forme par l’échange de consentement en vue de produire des effets juridiques. Les consentements doivent être exempts de vice. Un consentement perverti par l’erreur ne forme donc pas un contrat valable.

Le site Cairn.info indique, suivant l’article 1100 du code civil français, que le contrat se définit ainsi :« un accord de volontés entre deux ou plusieurs personnes destiné à créer, modifier, transmettre ou éteindre des obligations ».Avant l’ordonnance n° 2016-131 du 10 février 2016, le droit civil français établissait une différence entre un contrat et une convention, le contrat était considéré comme un type de convention où son effet spécifique donne lieu àdes obligations

Selon l’article 897 du code civil haïtien, « tout contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personne s’obligent, envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose ». L’article 898 dudit code poursuit pour parler de contrat synallagmatique ou bilatéral, lorsque les contractant s’obligent réciproquement les uns envers les autres.

Si l’on part de l’hypothèse que tout contrat est une convention d’après les dispositions du Code Civil haïtien, l’inverse ne s’établit pas, puisque toute convention ne donne pas lieu à des obligations.

 

II. Les différentes formes d’erreurs en Droit des contrats

L’erreur sur le prix

L’erreur est considérée comme source de droit privé, de l’avis deJ. Derrida Le parjure, peut-être (« brusques sautes de syntaxe »), cité par Le Cairn Info sur son site internet.

L’article 1136 du Code civil français prévoit que « l’erreur sur la valeur par laquelle, sans se tromper sur les qualités essentielles de la prestation, un contractant fait seulement de celle-ci une appréciation économique inexacte, n’est pas une cause de nullité.»

L’erreur sur la qualité des biens et des services

Contrairement à la qualité des biens, que l’on peut mesurer objectivement par des indicateurs comme la durabilité ou le nombre de défauts de fabrication, la qualité du service représente un construit abstrait et diffus en raison des cinq caractéristiques associées aux services : l’intangibilité, l’hétérogénéité, la périssabilité et la multidimentionnalité.

Le 10 février 2016, la Cour de Cassation de la République Français a statué sur la problématique de la qualité du bien, qui était resté jusqu’à cette date comme source l’erreur sur les qualités substantielles apparaissait comme source de difficultés dans l’interprétation des vices du consentement. Cette Cour rappelle l’étendue de l’appréciation souveraine des juges du fond dans la détermination d’une erreur sur les qualités substantielles.

L’erreur sur les modalités de paiement

À travers la fiche 45 qui traite du paiement de l’indudans Fiches de Droit des obligations (2019), pages 361 à 365, de Arnaud Lecourt explique qu’en cas une personne a donc perçu à tort quelque chose d’une autre personne. Elle doit lui restituer. Les cas de paiements indus sont nombreux, soit qu’une personne paie entre les mains d’une autre personne que son créancier (son héritier par exemple, si le créancier est décédé), soit qu’une personne reçoit paiement d’une prestation accomplie par un autre (l’artisan, par exemple, qui reçoit un paiement pour un travail qu’il n’a pas accompli). L’indu est subjectif selon l’article 1302-2 nouveau code civil francais.

Autres types d’erreurs

Pour les autres types d’erreurs, elles ne sont pas clairement définies par les dispositions légales jurisprudentielle haïtiennes :

 

• (1) Erreurs systématiques. La valeur mesurée est erronée en raison d’une cause spécifique. …

• (2) Erreurs aléatoires. Des circonstances aléatoires se produisant au cours de la mesure sont à l’origine de l’erreur.

• (3) Erreurs de négligence. L’inexpérience ou la mauvaise maîtrise de l’opérateur a causé l’erreur.

 

III. Les conditions essentielles pour la validité des conventions

L’article 903 du code civil haïtien énumère quatre (4) conditions pour une convention soit considérée comme valide :

1. Le consentement de la partie qui s’oblige

2. Sa capacité de contracter ;

3. Un objet certain qui forme la matière de l’engagement ;

4. Une cause licite dans l’obligation.

IV. Les conditions nécessaires à l’annulation d’un contrat

L’erreur doit être substantielle

Quand des personnes concluent un contrat, il se peut que l’un des cocontractants se trompe sur la substance de l’objet du contrat. C’est ce qu’on appelle l’erreur sur la substance.

En vertu des dispositions de l’article 905 du code civil haïtien, « L’erreur n’est une cause de nullité de la convention que lorsqu’elle tombe sur la substance même de la chose qui en est l’objet. Elle n’est point une cause de nullité lorsqu’elle ne tombe sur la personne avec laquelle on a intention de contracter ; à moins que la considération de cette personne ne soit la cause principale de la convention.

La Cour de Cassation d’Haïti, dans un arrêt le 25 janvier 1900, a fait la précision suivante : « une convention est valable si elle a été consentie sans erreur sur la substance et de la chose qui en est l’objet. (Cassation, arrêt du 25 janvier 1900, Bull des arrêts 1900, pp 12 et suivant).

 

L’erreur doit être excusable

L’erreur doit être excusable, sinon l’erreur cesse d’être une cause de nullité. Une erreur est inexcusable lorsqu’elle est grossière, c’est-à-dire lorsqu’il s’agit d’une erreur que l’on pouvait éviter avant de conclure le contrat. 

 

L’erreur doit avoir été commise de bonne foi

Pour voir son erreur excusée, l’usager doit obligatoirement l’avoir commise de bonne foi. Cette disposition juridique permet de renverser la charge de la preuve : c’est désormais à l’administration de prouver la mauvaise foi de l’usager.

Cependant, la loi n° 2018-727 du 10 août 2018 en France introduit le droit à l’erreur. En son article premier, cette loi stipule que : « Pas de sanction en cas de première méconnaissance d’une règle ou d’une erreur matérielle dans la déclaration de sa situation ».

Le dol :

On dénomme dol, l’ensemble des agissements trompeurs ayant entraîné le consentement qu’une des parties à un contrat n’aurait pas donné, si elle n’avait pas été l’objet de ces manœuvres.

L’article 909 du code civil présente le dol comme une cause de nullité : « Le dol est une cause de nullité de la convention, lorsque les manœuvres pratiquées par l’une des parties sont telles, qu’il est évident que sans ces manouvres, l’autre partie n’aurait pas contracté. Il ne se résume pas ; il doit être prouvé. »

La violence :

La violence est un vice du consentement permettant d’obtenir la nullité du contrat dans lequel une personne s’est engagée sous la menace d’un mal faisant naître chez elle un sentiment de crainte.

Selon les article 906 et 907 et l’arrêt du 19 décembre 1919 en cassation, sections réunies, la violence est tout bonnement une cause de nullité des contrats.

V. Les conséquences de l’annulation d’un contrat pour erreur

La restitution des sommes versées

L’article 933 du code civil haïtien indique que : « Toute obligation de faire ou de ne pas faire se résout en dommage intérêts, en cas d’inexécution de la part du débiteur. Néanmoins, le créancier a le droit de demander que ce qui aurait été fait par contravention à l’engagement, soit détruit ; et il peut se faire autoriser à le détruire aux dépens du débiteur, sans préjudice des dommages intérêts, s’il y a lieu ».

 

La restitution des biens échangés

Selon les dispositions de l’arrêt de la Cour de Cassation haïtienne du 18 décembre 1940, le jugement qui ordonne la restitution d’un document dans un délai déterminé sans préjudice, en cas d’inexécution, du droit pour la partie lésée de solliciter une sanction n’interprète ni n’applique faussement l’article 933 du code civil haïtien, qui dispose que l’obligation de faire se résout en dommages intérêts.

 

Les dommages et intérêts

Les parties ne sont pas tenues que des obligations qui découlent de leur contrat et du préjudicecausé par leur fait, leur négligence ou leur manquement », d’aprèsles dispositions de l’arrêt en Cassation du 9 novembre 1942, Haïti, 1ère section, Bulle des Arrêts 1942, page 76 et suivant.

Le juge, en accordant des dommages intérêts, a fait une saine application de l’article 933 du code civil aux terme duquel toute obligation de faire ou de ne pas faire se résout en dommages intérêts en cas d’inexécution de la part du débiteur, lorsque la décision a reconnu la validité des contrats passés entre les parties, leur inexécution par le vendeurs, la mise en demeure infructueuse, le préjudice souffert par la créancière, le lien causal entre ce préjudice et l’inexécution et enfin le manque à gagner ressortant de l’écart qui existait entre les prix portés aux contrat et le prix minimum officiellement fixé… ».

Ainsi, dans divers cas d’espèces, le cadre jurisprudentielreconnait : 

« Des dommages intérêts pour non-paiement (Cassation, arrêt du 13 janvier 1852, 1er février 1864, Not sous l’article 943 du code civile) ; 

Des intérêts légaux (Cassation, arrêt du 19 février 1891, Not b, article 1030 du code civil Borno), 

Des intérêts moratoire et intérêts compensatoires (Cassation, 1èresection, arret du 2 mars 1942, Bull des arrêts 

VI. Analyse et compréhension

 

Les dispositions légales relatives à l’erreur dans les contrats

 

En général, le droit à l’erreur dans les contrats permet à une partie de demander la rectification d’une erreur qu’elle a commise dans la conclusion d’un contrat, afin d’éviter des conséquences préjudiciables. Les dispositions légales varient selon les pays, mais en général, les tribunaux sont tenus de tenir compte de l’intention véritable des parties lors de la conclusion d’un contrat.

 

Les dispositions légales et jurisprudentielles haïtiennes en matière d’erreurs dans les contrats

 

En ce qui concerne Haïti, les dispositions en matière d’erreurs dans les contrats sont réglementées par le Code civil haïtien Jean VANDAL. L’article 925 dispose que « les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites ». Selon l’article 903, pour qu’un contrat soit valide, il faut qu’il y ait « le consentement des parties », ce qui implique que le consentement doit être donné sans erreur, violence ou dol.

L’article 905 mentionne que « l’erreur de droit, de fait ou de calcul, lorsqu’elle tombe sur la substance même de la chose qui en est l’objet, rend le contrat nul ». Toutefois, si une erreur porte sur des éléments accessoires ou des circonstances qui n’ont pas été déterminantes lors de la conclusion du contrat, le contrat n’est pas nul, mais peut être annulé.

La jurisprudence haïtienne considère également que l’erreur doit être fondée et non sur des impressions erronées ou des suppositions. De plus, la partie qui invoque l’erreur doit prouver son existence et son importance dans la conclusion du contrat.

En résumé, les dispositions légales et jurisprudentielles en Haïti en matière d’erreurs dans les contrats se concentrent sur la validité des contrats et la nécessité d’un consentement sans erreur, où une erreur portant sur la substance même de la chose qui en est l’objet rend le contrat nul. Cependant, pour être validé, l’erreur doit être fondée et d’une grande importance dans la conclusion du contrat, et la partie qui invoque l’erreur doit prouver son existence.

VII. Conclusion :

 

Synthèse des résultats de l’étude:

En résumé, notre étude a montré que l’erreur dans les contrats est un sujet important en droit haïtien. Nous avons identifié les différentes formes d’erreurs qui peuvent survenir dans les contrats, et les conditions nécessaires à leur annulation. Nous avons également examiné les conséquences de l’annulation pour erreur, ainsi que les recommandations pour les contractants. En conclusion, la prévention de l’erreur reste le meilleur moyen pour éviter des litiges ultérieurs, et cela peut être réalisé en vérifiant soigneusement toutes les informations présentées avant de signer un contrat, ou en se faisant aider par un professionnel du droit pour clarifier les parties ambiguës du contrat.

 

Limites et perspectives de l’étude:

Nos résultats sont basés sur une analyse de la législation haïtienne en vigueur, ainsi que de la jurisprudence pertinente. Cependant, il est possible que certains aspects aient été omis, ou que de nouvelles décisions judiciaires soient rendues ultérieurement, qui peuvent influencer notre analyse. Par ailleurs, l’étude peut être davantage approfondie en examinant les lois et les réglementations d’autres pays en la matière.

 

Conclusion générale

Au terme de cetravail, nous pouvons conclure que l’erreur dans les contrats est un sujet très complexe et qui nécessite une grande attention. Les erreurs peuvent avoir des conséquences préjudiciables pour les parties prenantes, ainsi il est crucial de les éviter ou de les corriger rapidement. Pour ce faire, les parties prenantes devront prendre toutes les précautions nécessaires et se faire accompagner par un professionnel du droit pour rédiger un contrat clair et précis et éviter ainsi la survenue d’erreurs susceptibles d’entraîner des contentieux. Enfin, la jurisprudence relative à l’erreur dans les contrats est abondante et permet de mieux comprendre les enjeux liés à ce sujet.

En conclusion, l’étude de l’erreur dans les contrats en droit haïtien nous permet de constater que la jurisprudence a été assez clémente envers les parties qui ont commis une erreur. En effet, les tribunaux ont veillé à ce que les conditions de l’annulation pour erreur soient remplies avant de prononcer une telle annulation. Cependant, il est important de souligner que la prévention de l’erreur reste le meilleur moyen pour éviter des litiges ultérieurs. Ainsi, les parties à un contrat doivent être attentives et bien informées lors de la formation de leur contrat.

 

Les recommandations :

– La prudence est le maître mot en matière de formation des contrats. Les contractants doivent donc veiller à vérifier toutes les informations présentées avant de signer le contrat;

– Lorsqu’il y a une incertitude ou une ambiguïté sur un élément quelconque d’un contrat, il est préférable de faire appel à un professionnel du droit pour clarifier la situation;

– Les contractants devraient envisager d’inclure des clauses contractuelles spéciales pour traiter de l’erreur, de manière à encadrer précisément les situations dans lesquelles l’erreur peut être invoquée.

 

 

Me Verna FORESTAL, 

MI2 Management des Medias (Université de Lille, France)

Et. M2 en Droit des Affaires (UEH)

vernaforestal@gmail@gmail.com / +509 44 28 40 48 / 43 01 11 11

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

VIII. Bibliographie et Webographie

1. Chapitre 1. La notion de contrat, Christophe Lachièze, Dans Droit des contrats (2020), pages 26 à 39, https://www.cairn.info/droit-des-contrats–9782340042568-page-26.htm

2. Le vendeur peut-il invoquer l’erreur sur le prix ?, Gilles Carnoy, Bruxelle, 2019,  https://gillescarnoy.be/actujour/vendeur-invoquer-lerreur-prix/ , 

3. Code Civil français, art. 1101 ; Chapitre 1. La notion de contrat, Christophe Lachièze, Dans Droit des contrats (2020), pages 26 à 39, https://www.cairn.info/droit-des-contrats–9782340042568-page-26.htm;

4. Code Civil haïtien mis à jour, Jean VANDAL, 2020 ;

5. Jacques Derrida Le parjure, peut-être (« brusques sautes de syntaxe ») et L’erreur au fond du droit, Olivier Massot,

Dans Revue interdisciplinaire d’études juridiques 2006/2 (Volume 57), pages 157 à 218, www.cairn.info ;

6. La perception de la qualité dans le domaine des services : Vers une clarification des concepts, André Boyer, Ayoub Nefzi, Dans La Revue des Sciences de Gestion 2009/3-4 (n° 237-238), pages 43 à 54 ;

7. Dalloz, ÉDITION DU 2 JUIN 2023, https://www.dalloz-actualite.fr/flash/de-difficulte-de-prouver-une-erreur-sur-qualites-substantielles

8. Fiche 45, du paiement de l’indu dans Fiches de Droit des obligations,Arnaud Lecourt, (2019), pages 361 à 365

9. https://www.legalstart.fr/fiches-pratiques/relations-commerciales/conditions-validite-contrat/

10. QU’EST-CE QUE LE « DROIT À L’ERREUR » DONT ON PEUT SE PRÉVALOIR AUPRÈS DES ADMINISTRATIONS DEPUIS AOÛT 2018 ?, Par Emmanuelle Destaillats, Avocat, décembre 2028,https://www.village-justice.com/articles/est-que-droit-erreur-dont-vous-pouvez-vous-prevaloir-aupres-toutes-les,30265.html

11. Code civil haitien, mis a jour 2020, Jean VANDAL, page 273, 274, Articles 903 ;

12. L’erreur sur la substance, Par Cours Droit, publié le 4 avril 2019, https://cours-de-droit.net/erreur-sur-la-substance-a121603124/

13. Cassation, arrêt du 25 janvier 1900, Bull des arrêts 1900, pp 12 et suivant ;

14. L’erreur sur la substance ou sur les qualités essentielles de la prestation: réforme des obligations, Par Aurélien Bamdé, dans Droit des contrats – Droit des obligations, publié le 12 février 2017, https://aurelienbamde.com/2017/02/12/lerreur-sur-la-substance-ou-sur-les-qualites-essentielles-de-la-prestation-reforme-des-obligations/

15. L’erreur au fond du droit, Olivier Massot, Dans Revue interdisciplinaire d’études juridiques 2006/2 (Volume 57), pages 157 à 218, https://www.cairn.info/revue-interdisciplinaire-d-etudes-juridiques-2006-2-page-157.htm

16. QU’EST-CE QUE LE « DROIT À L’ERREUR » DONT ON PEUT SE PRÉVALOIR AUPRÈS DES ADMINISTRATIONS DEPUIS AOÛT 2018 ?, Par Emmanuelle Destaillats, Avocat, décembre 2028,https://www.village-justice.com/articles/est-que-droit-erreur-dont-vous-pouvez-vous-prevaloir-aupres-toutes-les,30265.html

17. Par Serge Braudo, Conseiller honoraire à la Cour d’appel de Versailles, en partenariat avec Baumann Avocats Droit informatiquehttps://www.dictionnaire-juridique.com/definition/dol.php

18. Dalloz, Fiches d’orientation, Violence (Contrat) – Janvier 2023, https://www.dalloz.fr/documentation/Document?id=DZ%2FOASIS%2F001040 ;

19. Cour de cassation, 1ère section, arrêt du 18 décembre 1940, Bull des arrêts 1911, page 110 et suivant.

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