
Insécurité en Haïti : l’UPEPH dénonce l’inaction des autorités de la transition
L’Union des parents d’élèves progressistes d’Haïti (UPEPH) affirme que la décision des autorités gouvernementales et policières de suspendre le transport en commun n’est pas bénéfique pour la population. Cependant, cette mesure semble avantager certains particuliers, notamment la famille Khawly.
Dans une note de presse parvenue à la rédaction de Lakay Info509, la structure syndicale a sévèrement critiqué cette décision.
L’UPEPH souligne que le nombre de communes et localités sous le contrôle des bandes armées a augmenté. Face à cette situation, l’organisation exige des autorités la mise en place de mesures efficaces pour rétablir d’abord le transport en commun entre les départements de l’Ouest et du Grand Sud, puis pour reprendre totalement les zones sous l’emprise des bandits. Cela permettrait à plus de 800 000 familles de la zone métropolitaine de retourner chez elles.
Par ailleurs, selon l’entité syndicale, le Premier ministre Garry Conille doit cesser de faire des promesses fallacieuses concernant la réouverture des classes pour l’année 2024-2025, prévue pour le début du mois d’octobre.
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